Kostard [Lieu intermédiaire]

De solides murailles. Une porte de fer immense. Une activité ardente. Voilà ce qu'était Kostard. Véritable ode à la défense, à la guerre et à l'activité humaine, elle était surement la ville la plus puissante de tout le continent. Rien ni personne ne pouvait y accéder sans l'accord des militaires, et ceux qui y étaient refusés étaient assurer de mort. Ses habitants, acharnés dans leur tâche pour avoir suffise ment d'argent pour survivre, ressemblaient à des machines en activité. Les taxes s'élevaient de plus en plus, et Gehanteed n'était pas vraiment un homme qui s'apitoyait sur le sort de ses paysans... Ni même les quatre généraux qui l'entourait. Au centre ce cette activité trônait une immense bâtisse de pierres grises allant sur le noir: Le château de l'Empereur. S'il était la première chose que l'on apercevait en entrant dans la ville, il était aussi de loin le plus gardé et le moins accessible. On estimé à trois pour cent le nombre d'habitant de tout Tekikoku ayant été autorisé à entrer dans la forteresse, et d'un peu moins celui de ceux qui en sont ressortit vivant...
Alvis, Ulquiorra, Urchel et les autres entraient dans la cité. Chacun ne souhaitaient pas s'atarder dans la basse cité, et le souhaitaient encore moins à la vue des habitants... C'est ainsi que chacun se dirigèrent vers le château.

[Je vous laisse discuter un peu.]

Lorsque altaïr entrat dans la capitale se ne fut ni la puissance, ni le muraille, ni les soldat en poste partout qui l impressionaire.C etait l ambiance opressante, le nombre de mediant et l odeur carracteristique de pauvretée qui regnait dans les rues dessendant vers les bas quartier.Pourtant altaïr n avait à se moment qu une preocupation que l ambiance glauque n arrivait pas a refrenée.En effet en 3 semain il n avait mangée que de l herbe,des champignons à l allure plus ou moins commestible et le bras d un cadavre a demi calcinée, en desespoir de cause quand il mourrait de faim.Ainsi en entrant dans la grorieuse citée la seul chose qu altaïr trouvait a dire etait.

Altaïr:"RAAAAAAAAAAA je cccrrrrrrééééééééveeeeeeeee de faim."

Puis s adressant a un homme de la suite d urchel qui sembrait en charge de la nourriture.

Altaïr:"He toi t aurait pas quelque chose à graillée avant que j ne soit obligée d en venir à des solutions extrémes."

Solution qui signifiait de deshonorée sont nouveau seigneur en devalisant avec grasse une poubelle ou en soulageant un ou deux mandiants de leur rares memdres encore valide.Devant cette persective pour le moine desonorante, l homme donnat donc un morceau de pain à altaïr qui le devorat sans demandée sont reste.Puis une fois rassasiée il semblat retrouvée le semblant de dignitée qu il pouvait avoir et dit.

Altaïr:"En tout cas la glorieuse citée laisse un peu a desirée, je m attendait a un truc moin glauque quoi.Dit seigneur c est pas l endroi ideal pour passe des vacances si loin de la guide"

Tien d ailleur comme savait t il qu urchel venait de la guilde.De mieu en mieu, sa memoir commencait à lui revenir par mal de téte interposée et il n apréciant pas cette impression de puzzle decomposée que donnait sont cervaux.

[pour ceux qui n aurrait pas comprie c est expres qu altair parle comme sa et non par manque de vocabulair de ma par il est un peu comme beldin dans la belgariande(pour ceux qui connaise c est bien) un personage sans la moindre politesse (enfin tant qu il est amnésique et surtout s il a faim XD]

À la seconde où Silver entra dans la ville, il ressenti comme un grand sentiment d'inquiétude...

Lord Urchel... ma mission est accomplie, j'aimerai à présent récupérer mon dû pour pouvoir me remettre en chemin.

"Certes Mercenaire, ta paye viendra, ce cher Gehanteed se fera un plaisir de te la donner, tu pourras repartire dès ce soir."

Urchel se tourna ensuite vers Altaïr. Ce garçon était décidement génant; encore plus amnésique qu'il ne l'était déjà avant. Aussi prit-il la parole.

"Quand à vous, vous faites désormais partit de mon escorte. Je n'ai jamais hésité à punire les comportements que je jugeais grossiés, et ce n'est pas maintenant que je vais me repentire. Restez sur vos garde, c'est un conseil plus qu'un ordre."

Sur ces paroles, l'Archevêque se tourna vers le château. Combien de fois y avait-il était reçu sans même avoir daigné décliner son identité? Il était la seul personne vivante à pouvoir percevoir la crainte du terrible Gehanteed... Et il espérait que cette crainte perdurerait jusqu'à l'aboutissement des desseins du Conseil.

*Bien Gehanteed, que me réserves-tu cette fois?*

Altaïr se redit compte que le serieux s imposait s il voulait un jour retrouver la mémoir cet homme la ne plaisentait pas et puis aprés tout il etait peut etre un peu plus poli avant il serait stupide de parler comme un rustre si il avait ete noble avant.A cette perspective altaîr retrouva un peu de serieux et puis son humeur c etait grandement ameliorée depuis qu il avait avaler quelque chose.

altaïr:"bien seigneur vers ou allons nous."

*Alban ne devrait pas tarder à me rejoindre, je l'ai fait prévenir de mon retour*
"Ah, ces quartiers pauvres sont la honte de l'empire, on y entasse la population et on la laisse mourir à petit feu... Ce quartier a été surnommé L'Enfer Urbain par ses habitants, on comprend pourquoi quand on les voit s'accrocher à la moindre miette de pain et s'entretuer quand ils n'ont plus rien à se mettre sous la dent..."
"Capitaine, ces gueux ne méritent pas que vous vous fassiez du souci pour eux, ils devraient avoir honte de se montrer devant vous."
"Je vous rappelle que vous venez vous aussi de ce milieu, jeune imbécile!"
Le soldat, confus, s'excusa, ce qui n'empêcha pas les passants qui l'avaient entendu de lui lancer tout ce qui leur tombait sous la main, tant que ce n'était pas comestible.
"Arrêtez ça! Je ne veux pas que vous soyez arrêtés à cause de cet abruti!" cria Ulquiorra à la foule.

Soudain, l'un des mendiant belliqueux hurla. Un bras venait d'être arrché de son corps. Quelques secondes plus tard, une seconde explosion de lumière lui ôtait un second bras, puis abrégeait ses souffrances en visant la tête de l'homme.

"Bien. Un suivant?"

Urchel avait juste posé la main sous sa cape, sans même dévoiler son tome magique. Tétanisé, les yeux des habitants allaient du cadavre à l'Archevêque, se demandant quelle attitude adopter.

"Je suis l'Archevêque Urchel, et tant que je serait en ces lieux, je réserverais le même sort à quiconque cherche à porter atteinte à ma personne. Vivez en paix, mes fils."

Soudain urchel desintegra un mendiant, altaïr qui n avait rien manquée du spectacle se dit que sa confirmait assez bien la puissance magique d urchiel, cela dit cela prouvait aussi un manque totale de compassion envers les pauvre gens et altair se mit a imaginée le sort qu il resevait a ces ennemis.

Altaïr:"Seigneur n y allez vous pas un peut fort avec c est pauves gens."

puis se ravisant

Altaïr:"Je veut dire vous auriez pu nous laisse nous en chargée aprés tout nous somme votre escorte c est a sa que nous servont inutile de vous fatiguer. "

"Non, ne vous en faites pas pour cela. Cet homme est mort non pas parce qu'il m'a agressé moi, mais parce qu'en me portant atteinte il a agressé le Seigneur Ashura. C'était à moi de faire respecter l'ordre divin."

L'Archeêque se tourna ensuite vers Ulquiorra.

"Pouvons-nous reprendre la route? J'entrerais en premier, chargez vous de faire entrer les autres à ma suite."

Alvis contemplait la capitale...impressionante, imprenable...comment s'en sortirai les adversaire de Tekikoku face a ca? Il en seraient incapable, bien entendu...il se retourna vers Silver, satisfait d'etre dans le bon camp
Alvis: Vous me semblez pensif? Que se passe-t'il?

Silver , toujours aussi pensif n'entendit pas Alvis sur le coup...

...Ah? ...Oui? Pardon, Eh bien... Cette ville me préoccupe, l'atmosphère est étrange, à l'image de celui qui la dirige, sûrement... Cet homme, là, démembré à même le sol, avait-il mérité ce jugement ? Et les habitants de cette ville, ont ils mérité cette situation ?
Et puis, cela me fait me rappeler trop de souvenirs...

Alvis: Oui, vous avez raison sur ce point. Personne ne mérite une telle chose...il faudrai véritablement une équité dans ce monde. Quant a l'homme...peut etre méritait-il cette sentence, ce n'est pas a nous de juger.
J'imagine que les souvenirs en questions sont douloureux...

[A l’extérieur de la ville]

Dante passe la dernière barrière d’arbres et pousse un soupir soulagé.

[Dante] Enfin sorti de cette foutue forêt ! Où suis-je à présent ?

Il regarde autour de lui et n’aperçoit que de hautes murailles. Derrières elles se dresse une énorme masse sombre.

[Dante] Qu’es-ce que… c’est quoi ce gros machin tout noir au fond ? Ça ne ressemble à rien !

Le jeune mage réfléchi quelque instants pour se situer…
Une chose est sûre, il se trouve à Tekikoku, mais à quel endroit exactement ? Sûrement pas un petit village de campagne, à la vue des protections…
Un groupe de paysans s’approche des remparts. Dante interrompt sa réflexion un moment et assiste à la scène, à l’abri des regards : mais impossible de comprendre ce qui se dit.

[Dante] J’ai comme l’impression qu’ils réclament quelque chose… mais les soldats ne les écoutent pas. Rien d’étonnant.

Les agriculteurs semblent déterminés ; ils se mettent à frapper à la gigantesque porte en signe de protestation. Là, le jeune mage assiste, stupéfait, à la chose suivante : les soldats dégainent des arcs et abattent tous les paysans, sans exceptions. Dante recule légèrement et trébuche, effrayé par l’horreur à laquelle il vient d’assister.

[Dante] Ils… ils… ils…

Le mage essai de reprendre son souffle, en vain. Il viens de comprendre où il est tombé : dans un lieu remplis de barbares ! Ces hommes n’avaient sûrement pas commis de crimes méritant un chatiment de la sorte. Il saisit sa gourde et prend une rasade d’alcool avant de se redresser, encore troublé.

[Dante] Une chose est sûre : je vais trouver un autre endroit pour passer la nuit.

Et il commence à longer la forêt, en se retournant parfois pour jeter un regard paniqué à la ville imprenable. Pays de fous !

Alban arriva à la hâte vers Ulquiorra, tout essoufflés.

Alban: Cpt. Ulquiorra, que se passe-t-il? On m'a informer de vous rejoindre ici...

Ulquiorra: Vous voilà enfin...

un jeune soldat arrivat tout essouflée et dit
captiane ulquiora,que se passe t il ? on ma informer de vous rejoindre ici...
l interesée sembla heureu de cette arriver et sermona le jeune soldat sur les méfait du retard en service

altaïr observa le jeune soldat qu avait l aire essouflée et s adressa a lui du ton desinvolte qui e caractérisait

altaïr:"se qui s passe mon gars,c est que vous avez rater un des plus beau feu d artifice humain qu il m et été donnée de voire grace a sa seigneurie mais vous arriver juste attend pour escortée sa grace jusque a l empreur d c est lieu."

puis ils se retourna vers ulquiorra et dit du méme ton toujour denuer de respect
"Biennnn alors capitaine,on reste plantée la ou on y va.Perso j aimerai pas trop moisir ici et comme sa seigeurie semble d accord,y serait bon qu on s grouille d pas fair attendre ton empreur non?"